Sous l'objectif de Mario Testino, Carine Roitfeld met en scène un corps à corps langoureux entre Daria Werbowy et un bel italien, largement inspiré de Jane et Serge.
J'aime les bas fumés de Daria assortis à ses yeux.
J'aime le contraste entre l'homme tiré à quatre épingles et la femme déjà dévêtue.
J'aime quand Daria ferme ses yeux de chat, elle ressemble alors de manière troublante à Jane.
J'aime le contraste des matières: soie, dentelle, maille que l'on entend se froisser.
J'aime la manière dont le corps de DariaJane se plie sous les mains viriles du néoSerge.
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